Poésie jour d’été

Gravir les dune

les bronches emplies

d’air marin

puis découvrir là-bas

le miroir bleu aux rides

crêtées d’écume

et son argent éblouissant

Descendre vers la plage

s’asseoir sur le sable

être cet infime témoin

de l’harmonie des couleurs

et de la matière

Regarder l’horizon

seulement rêver

Rien ne vaut

le voyage immobile

déchirer du cri soudain

de la mouettte

Kamal zerdoumi

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